12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 08:03

Marie-Neige Sardin la femme courage, « celle qui dit non » comme Marine

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Marie-Neige Sardin la femme courage, « celle qui dit non » comme Marine

 

Marie-Neige Sardin, auteure de « Celle qui dit non » ( L’OEuvre éditions ), est libraire, l’une des dernières de Seine-Saint-Denis. Cette commerçante de 54 ans a

une seule et belle ambition dans la vie : faire en sorte que les habitants du Bourget, sa ville depuis plus de 30 ans, puissent avoir accès à la culture à moindre prix

 

.

Un but louable qu’elle poursuit coûte que coûte malgré

les multiples agressions dont elle a été victime : 26 au moment où elle achevait l’écriture de son livre, 27 aujourd’hui. Des violences verbales, physiques, des braquages et un viol, atroce, qu’elle raconte sans tabou dans son livre. Malgré les plaintes et l’accumulation de preuves, aucun de ses agresseurs n’a jamais été puni.

 

A l’inverse, pour un propos mal interprété ( » arrêtez de faire la bamboula » ), Marie-Neige Sardin a été arrêtée, placée en garde à vue puis finalement condamnée à payer une amende en première instance.

Une justice à deux vitesses à laquelle la libraire dit non, comme elle dit non à la barbarie, à la violence et à l’état de non-droit dans lequel la ville de son enfance s’est enfoncée.

 

Marie-Neige Sardin a souhaité rencontrer les candidats à la présidence,

au nom de toutes les victimes avec pour seule carte de visite son livre, « celle qui dit non »; après huit années de souffrance accumulées, notre femme courage demandait juste une petite - toute petite - minute d’attention; elle raconte son périple …

» J’ai tenté en premier lieu Hollande présent sur ma commune pour un grand rassemblement; après avoir parcouru la ville, livre en poche, je me suis postée en sortie de meeting, parlementant avec sa garde rapprochée; de longs moments où s’enchainaient mines dubitatives, messes basses et regards gênés … pour être finalement refoulée avec le vif conseil de ne pas insister.



Le suivant fut Mélenchon mais là inutile de s’appesentir, rien que mon nom fait se refermer les portes automatiquement.



Je tentais le Bayrou, la Eva, la Nathalie mais sans succès; quand à Dupont Aignan, lui que je connaissais un peu, il me fit répondre qu’ il n’était pas là pour résoudre les cas personnels …

Enfin j’essayais le Sarko en venue sur la commune voisine; à la vue de la panoplie policière déployée, je renonçais et je rebroussais chemin dépitée.



Tous semblaient se figer dans ce déni total de vérité avec une victime qui n’a pas la gueule de l’emploi;

après tout si elle a subi tout celà ( violences verbales, agressions multiples, braquages à répétition, viol ) c’est bien qu’au final elle le mérite, qu’elle l’a bien cherchée

Il ne m’en restait qu’une, la Marine, mais sans illusions car aucun rassemblement prévu à l’horizon dans le département; une amie me proposa alors de l’accompagner au meeting d’Hénin-Beaumont et deux heures plus tard, 200 km plus loin, j’étais assise au premier rang d’une salle comble; mon livre fut transmis à son directeur de campagne.



A la fin de la réunion je me retrouvis face à Marine, rouge écarlate, les jambes en coton et le coeur battant.

 

Un moment intense, riche en échange, un regard franc, des phrases parlant d’héroïsme là où je ne vois que devoir; puis

elle m’enveloppa dans ses bras immenses, comme elle l’aurait fait pour sa mère, pour me serrer contre elle.

Moi qui ne supporte plus aucun contact, moi

qui ne me considère plus comme appartenant à l’espèce humaine; j’ai retenu mes larmes car elle m’a fait exister dans les yeux des témoins de la scène, révélant ainsi ma fragilité et ma force. «



Une minute, juste UNE PETITE MINUTE, mais une éternité pour Marie-Neige Sardin femme courage. 

                                                                      Gilbert Collard.

Le blog de Marie-Neige Sardin :

http://le-bourget.over-blog.com/

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1 juillet 2012 7 01 /07 /juillet /2012 19:12


Celle Qui Dit Non@TACTICAL MAGAZINE

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28 juin 2012 4 28 /06 /juin /2012 11:04

En trente ans, nous avons échangé sur tous les sujets possibles, du jardinage, à la politique, aux enfants, aux épreuves de la vie, à la maladie, aux recettes de cuisine.

 

 

En trente ans nous avons ri et parfois pleuré ensemble.

En trente ans, nous avons partagé tant et tant sur voltaire et Rousseau, tes auteurs préférés.

Les livres comme une première peau, les antiquités et les brocantes comme une seconde nature. Le soir bien souvent je te voyais passer sur la route traînant dans ton caddy tes découvertes du jour. Tu adorais aller fouiner dans certains quartiers de Paris pour dénicher le livre rare ou l'objet ancien qui te ferait vibrer au point de passer me le montrer. Je me souviens de cette pyramide dénichée, faite de feuilles et de cartons, une pure merveille à nos yeux. Parfois tu partais en province pour aller voter et jardiner. Le poids des ans se faisaient sentir dans ces moments là, mais peu importe, tu avais à coeur le travail bien fait et le partage.

Jamais, au grand jamais, je ne me suis sentie gênée ou agressée avec toi ou par toi, même si nous n' avions pas les mêmes convictions politiques. J' ai appris à travers ton mode de pensée, le sens du mot tolérance et l'amour des autres puisque, malgré tout ce qui a pu se passer et ce que l'on a pu dire sur ta libraire, tu ne m'as jamais tourné le dos. Au contraire, tu me disais " tu sais petite, la roue tourne et les vents ne nous sont pas toujours contraire".

Au Printemps, je t'ai vu venir à moi avec une branche de lilas, le plus simplement du monde. Un immense sourire éclairait ton visage sous tes grandes moustaches blanches, ta chevelure bouclée tout aussi immaculée donnait à ce dernier un air fripé de jeunesse éternelle. Ton regard malicieux, je l' attendais chaque matin comme une bouffée de bonheur.

Depuis une quinzaine de jours, tu me ramassais des paniers de cerises; ton cerisier en débordait et tu connaissais ma gourmandise.   Nous avons de nouveau parlé de clafoutis, de confitures et des saveurs de la vie. Ce matin, tu étais un peu plus matinal qu'à l'ordinaire, moi un peu plus débordée; aussi, nous avons échangé deux, trois mots; je t'ai prévenu que désormais les cerises commençaient à avoir des locataires et qu'il était préférable de les ouvrir, mon téléphone a sonné, c'était un fournisseur et par une délicate politesse tu m'as lancé " A demain petite........".

 

 

 

 

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La porte a claqué sur toi, j'ai eu le temps d'échanger avec mon interlocuteur quelques phrases, quand un hurlement, effrayant, plein de souffrances a envahi la rue; j'avais reconnu le timbre de ta voix si particulière, roulant les R, j'ai bondi, mon portable en main, un immense camion était face à moi, entre nous en sommes. J'ai d'abord découvert ta basquette et puis à côté une bouillie de chairs, d'os , de sang, je n'ai pas eu le courage d'aller plus avant, je savais juste que je devais me préserver d'autres visions pour devenir efficace, soit prévenir les municipaux, car je croyais encore que tout était possible malgré l'indicible vision qui me hante désormais. De longues heures se sont écoulées, j'ai ressenti un profond désarroi et une culpabilité immense, celui de ne pas t'avoir retenu quelques minutes de plus, d'avoir répondu au téléphone et d'avoir attaché plus d'importance à un simple coup de fil qu'à toi; nos vies ne tiennent vraiment qu'à un fil celui du destin. je n'ai pas su te préserver de cette tragédie, j'ignore si à l'heure où j'écris ce texte tu es encore parmi nous, car tes jambes, tes pieds n'étaient plus qu'un amas sanguinolent, ton sang emplissant le caniveau.

 

 

J'ignore ton nom, ton prénom, tu es pour moi juste "papé" et je ne suis que "ta petite". Nous nous donnions cette affection,ce respect si particulier qui unissent parfois deux êtres, au delà de tous les clivages sociaux, raciaux, religieux. Ceci depuis plus de trente ans.

 

 

 

 

 

 

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Nous en étions au temps des cerises; j'ai désormais un chagrin d'amour immense, une plaie ouverte.

Quand sifflera un merle moqueur ou un gai rossignol au creux de mon coeur, c'est ton souvenir qui m'envahira.

 

 

                                                                         A Papé

 

 Désormais, je sais que tu n'es plus, ma peine est immense, les cerises n'auront plus jamais la douceur de ton regard  posé sur moi.

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 « Tous, tant que nous sommes, nous n'avons à nous que la minute présente; celle qui la suit est à Dieu: il y a toujours deux chances pour ne pas retrouver l'ami que l'on quitte: notre mort ou la sienne. Combien d'hommes n'ont jamais remonté l'escalier qu'ils avaient descendu?»                   Chateaubriand 
                                                                     Mémoires d'Outre-tombe

 

 

 

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20 juin 2012 3 20 /06 /juin /2012 17:30

Vous avez remarqué, les élections en tout genre sont terminées, les tentouilles cousues au fil noir s'efforcent de virer au blanc, histoire de nous faire gober que nous avons élu, les meilleurs.

 

 

 

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Mais en y réfléchissant bien, n'ont-ils pas raison de porter sur eux-même, une si haute estime de tout leur être?

Eux, les notables, les ouverts aux autres, les fornicateurs de la république, les bigots de la sainte diversité, sur laquelle ils ont fondé leur réélection et leur pouvoir,  piétinent sans remords, ceux qui osent, demander, réclamer, un peu de paix et de confort de vie..

Des voix si précieuses, si nombreuses, si savoureuses, qu'elles laminent les souffrances des isolés et de nos anciens qui ont fait les beaux jours de notre commune.

Il en est fini de cette amabilité feinte au téléphone pour Mamie Jeannine, désirant informer le maire de l'évolution de son intoxication par des gaz polluant tout un quartier et se répandant peu à peu sur l'ensemble de la ville. Le secrétariat l' envoie dans le mur, de manière blessante et si j'ose dire nauséabonde.

 

 

 

 

 

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http://le-bourget.over-blog.com/article-crever-au-bourget-a-petit-feu-105390894.html

 

Pire, pour tenter de lui faire regretter sa venue vers moi, son médecin qui fut aussi le mien, jusqu'à une trahison maison, la supplia de ne point " entamer une grève de la faim". Surprise pas ces propos, Jeannine lui répondit clairement qu'elle n'avait jamais eu, une telle idée....

Elle s'en ouvrit tout naturellement à moi, ne comprenant pas comment le maire avait pu souffler une telle intention à son médecin. Je souris tendrement à mamie, la pris par la main, pour lui dire de ne pas s'inquiéter de tout cela, juste une technique à la con pour la déstabiliser, pour mettre à mal notre relation vieille de trente-quatre ans, pour aussi me faire passer à ses yeux et aux yeux des autres, pour cette irresponsable notoire, capable de conseiller à autrui, des mises en danger que je n'ai toujours appliquées qu'à moi-même.

Il faut avoir une bonne dose de perversité pour mettre en place un tel scénario.

Je suis désolée, respectez mon but, il est simplement d'aider, de soutenir, un quartier, des citoyens, sans rien en échange.

Je sais, ce qu' engendre une lutte seule, contre "l'oligarchie des incapables"; on s'y épuise, on s'y transperce, on s'y noie, on s'y perd, on s'y oublie, on s'y détruit. Je ne peux souhaiter un tel enfer à mon pire ennemi, alors encore moins, à ceux qui partagent mon quotidien depuis tant d'années.

 

                      "Soyez au moins mes ennemis"

 

Mais, n’y a-t' il pas du respect dans l’adversité ? Ne sommes-nous pas stupéfaits et plein d’humilité devant les volcans et les ouragans contre lesquels nous luttons pourtant ?

Le guerrier n’a-t' il pas, au cœur de ses pensées, un adversaire dont la force est un défi ?

Plus encore: nul guerrier ne tira jamais sa gloire d’avoir vaincu dans des conditions trop avantageuses. Le désir du guerrier n’est pas de vaincre par chance, mais grâce à sa valeur. Ainsi la guerre que mènent les hommes politiques n’est pas empêchée par le parlement; au contraire, c’est le parlement, dans lequel règnent normalement la politesse et l’intelligence, qui donne à ces guerriers, le cadre, leur permettant de montrer leur valeur. C’est le respect, qu’ils ont les uns pour les autres, qui leur fait préférer, attaquer par un beau discours, plutôt que d’assassiner lâchement.

La beauté et la grandeur des grands hommes ne peuvent s’exprimer que dans des conditions honnêtes et respectueuses. L’inimitié n’est pas sans respect, et nos ennemis nous importent. Vous m'importez, mesdames et messieurs.

Reconnaître son ennemi, reconnaître la valeur de son ennemi, cela fait grandir, cela permet de se surpasser dans le défi de vaincre loyalement. Car si on sait que nos ennemis ne nous veulent pas du bien, on voit bien qu’ils nous forcent par là même, à tirer le meilleur de nous-même. C'est pourquoi je tenais à vous remercier pour m'avoir permis, dans chaque combat engagé, d'aller puiser en toute simplicité, au plus profond de moi-même, cette force, qu'aujourd'hui, je peux mettre au service des autres.

 

 

 

 

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15 juin 2012 5 15 /06 /juin /2012 17:15

Il en est qui ne manque pas d'air et encore moins de culot, tout est bon, à croire qu'ils ont les ratiches en forme de râteau.

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Souvenez vous de mon article " crever au bourget à petit feu!":

http://le-bourget.over-blog.com/article-crever-au-bourget-a-petit-feu-105390894.html

Pas l'ombre d'un élu et encore moins d'un préfet ne s'est bougée pour la cause des riverains de la rue Massena et de Madame Richez.

Le problème a débuté en janvier, elle a été reçue en mai avec bien du mal....

Les choses ont ensuite pris une autre tournure lorsque j'ai prévenu par mail les services de santé parisiens, soit hors de notre département; en voici d'ailleurs la copie:

 De : "ARS75-ALERTE@ars.sante.fr" <ARS75-ALERTE@ars.sante.fr>
À : vegaelnath@yahoo.fr
Envoyé le : Mardi 29 mai 2012 12h12
Objet : A/R - intoxication par des fumées - DT 93

Bonjour,

 

Nous accusons réception de votre message et vous remercions.

 

Bien cordialement

 



logoThérèse FLAUTRE-BETEMS 

Gestionnaire de la plate forme CRVAGS-IDF 

35 RUE DE LA GARE, 75019 PARIS 

Tél : 0 825 811 411 - Fax : 01 44 02 06 76  

ars75-alerte@ars-sante.fr
filet 

 

De : sardin marie-neige [mailto:vegaelnath@yahoo.fr]
Envoyé : mardi 29 mai 2012 12:08
À : ARS75-ALERTE; ARS-DT93-alerte;
Objet : intoxication par des fumées

 

 

Bonjour,

 

Suite à notre échange téléphonique, je vous confirme donc l'intoxication par des fumées d'une mamie et cliente de ma librairie, Madame Jeannine Richez demeurant au 3 rue Massena à Le Bourget.

Ces fumées provenant d'un camp de Roms, sis rue Hélène Boucher à La Courneuve, proche des anciens établissements Joyaux, sont particulièrement denses la nuit. Les câbles étant brûlés de préférence durant cette période sans doute pour ne pas attirer l'attention des divers services de police et de santé publique.

Les établissements Joyaux avaient d'ailleurs, il y a plus d'un an, effectué des analyses qui ne furent pas probantes en journée. Ils quittèrent les lieux et le tout resta en l'état.

 

 

Ce mail a pour but de vous alerter de cette situation. Cette action m'a été conseillée par le Docteur Philippe Bargain, médecin chef des urgences de l'aéroport de Roissy car les souffrances de Jeannine durent depuis le mois de janvier2012.

Ayant conscience d'un dossier délicat voire difficile à résoudre, pensant que Monsieur le Maire du Bourget, vous a sans doute alerté depuis peu sur le sujet, je me permets d'insister sur l'urgence qu'il y a de trouver une solution rapide auprès de vos services pour que cette mamie et ce quartier retrouvent rapidement une qualité de vie et une meilleure santé.

 

Cordialement.

 

Librairie sardin marie neige

31 avenue jean jaures

93350 le bourget

tel: 01 48 37 52 55  :

 

Dès l'alerte faite, Paris a de suite diligenté sur le quartier un camion laboratoire afin de prendre les mesures nécessaires à la situation; mettant ainsi tout le monde, des élus, aux médecins dans l'obligation de remplir leurs fonctions. 

Je me suis sentie un peu mieux de voir Madame Richez reprendre un peu confiance en la vie et dans les autres.

je me suis aussi inquiétée de voir que certains enseignants de l'école Jean- Jaures commençaient aussi à se plaindre de ces odeurs diverses et du nombre de toux inexpliquées des enfants et du corps éducatif.

Je viens d'être pétrifiée par l'audace d'un candidat aux législatives, qui visiblement, est du style nerveux, craignant pour son siège de député ......on le comprend, la place est agréable .

Il est de mode dans notre département, pour faire perdre des voix à ses adversaires de créer, de financer, de fausses listes de gauches ou de droites suivant le cas. Puis à l'entre-deux tours, via la presse locale, de demander aux électeurs des dites listes de voter pour vous, ben voyons.....ceux qui pensaient voter à gauche sont appelés à voter à droite et inversement proportionnel.

Vive la salade, la cuisine qui en détourne plus d'un, des urnes. Le citoyen n'est pas aveugle, il sait à quel point il n'a d'importance que pour la voix qu'il représente.

Mais notre candidat lui, ne se refuse rien, il est monté sur ressort, rebondissant sur tout ce qui peut de près ou de loin, lui rapporter des voix.....et le "saint-siège".

 

 

 

 

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         Là franchement, c'est un vrai passage du "mur du çon".
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12 juin 2012 2 12 /06 /juin /2012 10:14

Ce ne sont que des foutriquets, des propre-à-rien!

Quand je vous disais que ces jean-foutre ne sont même pas capables d'exploiter les images vidéos des caméras d'une mairie ou ne le veulent pas, afin de préserver la communauté des agresseurs.

Quand je vous écrivais, que malgré X témoins d'une scène se passant en pleine rue, se poursuivant sur un marché, il n'y aurait aucune arrestation.

Quand je vous démontrais à travers mes articles et mes prises de positions à la télévision ou à la radio que les institutions locales jettent les victimes en pâture aux fauves dans un seul but, acheter cette paix sociale sans laquelle ils ne seraient rien.

Vous pouvez imaginer mon ressenti à la réception de ce courrier ce matin:

Sur mon visage se lit, non seulement un mépris révolté, mais aussi une sorte de défi, presque une menace à leur encontre.

Une attitude indigne de La France, moralement condamnable par la vindicte populaire.

Tous les éléments étaient pourtant réunis pour qu'une arrestation ait lieu. Voici un extrait de l'article écrit sur le blog relatant les faits:

"Un samedi ordinaire, un jour de marché prometteur puisque veille de premier mai et des clochettes du bonheur. je m'active dans la librairie, la quantité de presse à mettre en place est très importante, il est presque 8heures et donc je fais mon travail.

La sonnette de la porte est actionnée, je prends ma pile d'invendus et débloque la porte. La personne qui se présente n'a, au premier coup d'oeil, rien d'extraordinaire, un pantalon de survêtement bleu marine, un haut de la même teinte et un bonnet vissé sur la tête; je le prends sans souci pour l'un des hommes travaillant sur le marché.

Pourtant, mon corps m'envoie déjà des signaux d'alerte, ma gorge se noue, mes jambes tremblent, et mes yeux se mettent à fixer ces deux mains gantées trifouillant pour l'une dans le bas de jogging et pour l'autre me plaçant un sac de plastique blanc sur la caisse dans un silence assourdissant.

Mon regard se plante dans le sien. à cet instant précis je ne me pose plus aucune question, juste l'anticiper, le sonder, voire l'hypnotiser tel un cobra avec sa proie. Il braque un pistolet sur moi, petit ressemblant à un automatique ancien modèle, vrai ,factice, impossible de le savoir face au canon.

Il me réclame "un astro taureau et la caisse", tout en agitant fébrilement autant la poche que le flingue.

Ne quittant pas ses yeux, je prends donc dans le présentoir le jeu réclamé; il semble se détendre puisque j'agis selon sa volonté, ma main droite s'approche de la sienne, puis brusquement, je lui plaque sa main armée sur le comptoir, ne plus être face à l'arme, pouvoir me faufiler et le planter là. Parvenue prés de la porte, je me retourne et le vois me mettre en joue. je m'engouffre sur le trottoir, vite la petite place du marché, les commerçants s'y activent et il y a des hommes. L'individu me suit le pistolet à moitié dissimulé dans son plastique blanc, se sentant un peu coincé il balance ce dernier sous un étale, puis se ravise , le récupère et parvient à me dire dans un parfait français " je reviendrai, je ne fais jamais de bavure!" .

il part ainsi au beau milieu du marché, certains commerçants lui emboîtant le pas.

Libérée, je retourne à la boutique, je vomis, suis livide de trouille, toutes les émotions des 25 agressions précédentes me rejoignent, m'assaillent; je vais mettre une éternité à m'en remettre encore une fois.

Je n'ai pas déclenché l'alerte police que je paye pourtant tous les mois, tant j'ai perdu confiance en ces institutions aux valeurs inversées plus promptes à m'enfermer, me menotter, me blesser que de me protéger.

Pourtant je vais joindre sur son portable un des policiers municipaux, pas pour moi, dans ma démarche, mais pour le cas où l'individu ferait du mal à d'autres, il est de mon devoir de les protéger en le signalant.

Les caméras de la ville semblent parler, les témoins répondent présents et ne se défilent pas, monsieur le maire a passé un coup de fil m'informant de la tournure des choses, pourtant, pourtant, je demeure effarée, ma confiance est laminée; je ne peux oublier qu'une victime qui parle, s'exprime, dénonce, devient coupable à jamais.

http://le-bourget.over-blog.com/article-26-eme-agression-72868871-comments.html#anchorComment

Comment le procureur de la république peut-il effectuer ce genre de classement alors qu'il est l'instigateur des poursuites à mon encontre et de mes vingt-quatre heures de garde à vue pour avoir usité l'expression "arrêtez de faire la bamboula" pour demander à une antillaise de me laisser dormir à trois heures du matin.

Ne me parlez jamais plus de justice, vive l'autodéfense!

En conclusion, menacer un commerçant dans son magasin, puis en pleine rue avec une arme à feu, n'est en soit, pas un crime et encore moins un délit.......

Je crois fermement que si par "bonheur", cet homme m'avait tiré dessus, le coroner aurait conclu à un suicide, personne ne s'offusquant de la chose.

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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 15:53

 

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A l'ombre des noisetiers, à l'heure où le soleil se cache derrière "les grands baux", nous aimions nous retrouver toi et moi; nous regardions mémé remonter des prés, la fourche sur l'épaule, le chapeau de paille aux larges bords, vissé sur la tête, la sueur envahissant son visage et ses yeux bleus malicieux te remerciant d'avance pour l'eau fraîche que tu venais de tirer du puits, rien que pour elle. 

Pour ce petit bout de femme, toi le militaire au grand coeur, tu faisais tout, afin de l'aider durant tes permissions.

L'oncle Marcel arrivait d'un autre côté avec le troupeau de limousines pour l'heure de la traite, maman sortait de la maison, le tablier autour du cou, elle avait fait bouillir la marmite pour le repas du soir.

C'était le moment de détente de toute la famille, l'instant du rire et du partage. Parfois des voisins nous rejoignaient; on parlait moissons, champignons, vendanges, du grain à donner aux poules et des oeufs à ramasser, des anciens disparus, de la grande guerre et de la seconde, des derniers nés de la commune, des mariages annoncés et des bonnes blagues faites au nouveau curé.

La vie était dure, laborieuse, pour chacun d'entre vous; pourtant la petite fille que j'étais, a, de ces instants, un souvenir lumineux et heureux.

Il y a sous ces noisetiers, vos forces de vie, enracinées au plus profond de mon coeur.

Papa tu es parti les rejoindre il y a dix sept ans, je suis seule désormais avec maman sous leurs branchages.

Nous nous asseyons toujours à la même place, côte à côte; nous sommes souvent silencieuses à l'autel des souvenirs.

J'ai fait une promesse à cet arbre, celui d'y revenir jusqu' à la fin de ma vie. Des écureuils y vivent, signe de quiétude, de tranquillité; les noisettes font leur régal, le notre aussi quand ils daignent nous en laisser.

J'attendais comme un signe de toi, de vous tous là haut, il m'est venu par une lettre m'annonçant une messe, pour moi, mais aussi pour tous les bourgetins vivant des heures tristes de notre histoire.

Jamais, je n'ai osé demander une messe à quiconque, ne me sentant pas assez digne pour ce faire, aussi j'espère que ces prières monteront vers vous. Elles viendront de la communauté Saint Martin.


"Messe à la Communauté Saint Martin
Christa Milléquant
Chère Madame,

J'espère que vous aviez bien reçu mon courrier au sujet de la messe que je souhaitais faire dire pour vous et les habitants du Bourget auprès de la Communauté Saint Martin à Candé sur Beuvron.
Je viens d'avoir un retour de leur part et cette messe sera célébrée le 13 juin prochain, mercredi donc.

Je vous assure à nouveau de mon total soutien et vous souhaite un bon début de semaine.

Bien cordialement "

Je remercie vivement Christa pour cette démarche, espérant la retrouver un jour sous un noisetier ainsi que la communauté .

http://www.communautesaintmartin.org/

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 18:27

main basse sur la villeDepuis quelques mois, souffle sur la ville un vent de perversité doublé d'une poussée d' exclusivité, de possession, de privilège. Un monopole s'est mis en place avec la bénédiction des autorités, des hauts fonctionnaires et des élus.

Un déséquilibre voulu,choisi, imposé aux Bourgetins qui en aucun cas ne peut être nié. Il est de mon devoir de le dénoncer clairement puisqu'il touche les commerces .

Courant Mars, sur l'un des murs de la cité a surgi ce magnifique panneau:

 

Il annonçait, comme vous pouvez le lire, un changement d'affectation, soit la transformation d'un appartement en local commercial; jusque là tout va bien; mais en poursuivant, l'on découvre que la dite boutique sera "une librairie"......

Quoi de plus merveilleux, qu'une telle annonce pour la population bourgetine. Les langues allèrent bon train, chacun se réjouissait d'avoir enfin une autre librairie en la commune. Certains jours de marché, l'on ne causa même que de cela en place publique. Des gentils s'inquiètèrent pour moi et vinrent me prévenir de cette concurrence annoncée.

Surpris par ma désinvolture sur la question, je leur répondis que sans doute cela ne pouvait être qu'une librairie coranique puisqu'il y a en France des lois protégeant les librairies-presse comme les tabacs, les pharmacies et que rien ne pouvait se créer sans mon accord. Toujours pas convaincus de la chose, ils allèrent poser la question au dit propriétaire des lieux, qui, le pauvre ne comprenait pas pourquoi, La Mairie lui avait fourni le panneau ainsi écrit......

Déduisez en ce que vous voulez, mais comme perversité on atteint des sommets là encore.

Une manipulation des esprits sans doute constructive aux yeux de certains, mais lamentable, nuisible dans le factuel, juste le reflet de cette haine palpable au détour de bien des regards, car en fait, voici ce qu'est devenu ce local:

 Une pizzeria, une de plus, la deuxième, s'ouvrant en quelques semaines sur la nationale deux.

Au total, la commune peut s'enorgueillir de douze pizzerias, rien de moins.....

Pour celle-ci, c'est une histoire qui ressemble fort à de grandes manoeuvres au grand jour.

Le créateur est le boulanger voisin, propriétaire également, de deux autres boulangeries sur la ville dont cette dernière mise en faillite, puis rachetée par un membre de sa famille où d'énormes investissements eurent lieu.

Une véritable chaîne déguisée, démontrant une soif avide de tout racheter, de tout dominer pour ne vendre que des produits, qui entre nous, ne relèvent pas de l'excellence dont il se targue. En creusant un peu, l'on découvre que cette société possède de nombreuses boulangeries sur tout le territoire français, la famille doit être fort grande et la vente du pain un trésor de rentabilité.

La municipalité fut d'ailleurs conviée en grande pompe à l'inauguration, enfin pour ce qui est de sa majorité car pour les élus de l'opposition le carton ne leur parvint même pas.

Dans ces boutiques, le halal est de mise, puisque le monopole dont je parle est, vous l'avez deviné, musulman.

Impossible d'y échapper, y compris pour la viande, car dans un périmètre de cent mètres carrés nous avons désormais trois boucheries du même type, voici la petite dernière, à deux pas de l'échoppe:

Sur le marché, il nous restait encore deux bouchers de tradition française, l'un d'eux vend son étal "la boucherie Roussel" en passe de devenir également un lieu où le porc sera exclu.

Des projets sont en cours:

- comme la création d'une association musulmane de commerçants .....

- comme la mise en place d'une mosquée plus grande dans la halle Worthington,  possédant une grande cheminée pouvant faire office de minaret.

Il n'est pas concevable de poursuivre ainsi.

Ce déséquilibre choisi et voulu par les élus du moment, les desservira un jour ou l'autre.

Aujourd'hui, ils demandent  aux personnes qui se plaignent de "s'adapter à ces nouvelles coutumes".

Ils oublient qu'en ne préservant pas les valeurs françaises, qu'en ne permettant pas aux citoyens de choisir librement leurs modes de vie et de consommation, ils seront sans doute les premiers, à se faire éjecter de leurs fauteuils d'élus par ceux-mêmes qu'ils auront privilégiés tout au long de leurs mandats.

Sans doute un discours que je vous aurais tenu si vous étiez passés, vous les candidats aux législatives, par la librairie......

Sur treize lièvres, seul le rassemblement bleu marine s'est présenté. Inutile d'en tirer des conclusions hâtives en tout genre, je suis et reste dans le factuel.

Un dernier mensonge pour la route, il concerne la nouvelle crèche et l'utilisation des médias pour véhiculer de fausses informations:

 Cette crèche a été financée comme suit:

-la communauté d'agglomération pour 500 000 euros

-la caisse d'allocations familiales pour 85 pour cent

-le reste étant comblé par le conseil général.

Le gestionnaire étant effectivement "la maison bleue"

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 14:56

Nous nous connaissons depuis plus de trente ans, chaque jour ou presque elle vient chercher son journal; nous partageons nos vies, nos rires et aussi nos souffrances. Certaines nous sont d'ailleurs communes puisque cette mamie a également subi des agressions en pleine rue, pour lui dérober son sac, son porte monnaie.

Nous avons un certain nombre de points communs:

-notre franc parler ne faisant pas bon ménage avec le politiquement correct ambiant.

-une volonté sans faille, à résister à tous ceux qui viennent marcher sur nos plates-bandes.

- un courage  à survivre, coûte que coûte, envers et contre tout.

Seulement voilà, depuis le mois de janvier 2012, je vois chaque jour ma mamie Jeannine de plus en plus mal, les yeux rougis, purulents, la gorge, le larynx en feu, ne dormant plus, au bord de la dépression, malheureuse de ne plus pouvoir prendre sa petite fille adorée chez elle, en raison d'un immense brouillard toxique.

Elle demeure dans la rue Massena à Le Bourget et se prend de plein fouet les fumées qui émanent du camps de roms sis rue Hélène Boucher à La Courneuve.

Sept cents caravanes, plus de deux mille personnes s'entassent dans cette zone, faisant le trafic des métaux et faisant brûler jour et nuit les plastiques, caoutchoucs divers entourant les câbles et fils électriques.

Une fumée hyper toxique se dégage donc à longueur de temps, sans répis, envahissant toute la maison de Jeannine située directement dans un couloir venteux, lui rabattant ainsi un nuage chargé de monoxyde de carbone et de plein d'autres toxines.

Ce dernier s'étend désormais aux rues voisines, comme la rue Carnot, atteignant d'autres familles, d'autres jardins, d'autres habitants.

Depuis cinq longs mois, ma mamie remue seule, ciel et terre, faisant des mains courantes, pour alerter, prendre à témoin, le maire de Le Bourget, les policiers municipaux, le commissariat de la Courneuve, la mairie de La Courneuve, le préfet de Seine-Saint-Denis, son médecin traitant, l'ophtalmo et enfin le maire de Drancy, se présentant aux législatives sur notre commune.

 

 

 

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Des promesses, des "on va", des "je m'en occupe", elle en a entendues des centaines. Son problème dure depuis janvier et c'est seulement le mercredi 16 mai qu'elle a été reçue au cabinet du maire.

Comme d'habitude, lorsqu'une victime ose demander secours et compréhension, elle est vite devenue coupable: " vous êtes trop sensible", "partez ailleurs", "vous avez eu avant des problèmes de yeux" ....

Mais aussi et surtout, le fameux couplet concernant les roms :"il faut bien que nous les mettions quelque part!".

Certes, "IL FAUT BIEN" que ces gens vivent; loin de Jeannine et de moi-même d'être contre, mais pas en les laissant empoisonner leurs voisins, messieurs les élus et responsables!

Il est de votre devoir, puisque vous êtes les garants de l'hygiène et de la santé publique, de ne pas laisser s'empoisonner vos concitoyens.

Il est criminel de laisser Jeannine dans un tel état, à respirer cet air contaminé depuis cinq longs mois.

 Qui peut dire, quelles vont être, les conséquences sur la longévité de sa vie et celle des autres riverains.

 

 

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Le trafic des câbles, ne doit pas passer par une mort lente à petit feu, d'une mamie bourgetine, pour que vivent mieux des gens n'appartenant pas à notre nation, pillant nos installations, nos biens, aux yeux et à la barbe de tous. Tuant ainsi ce que j'ai de plus précieux en mon coeur, Le Peuple de France.

C'est pourquoi j'ai décidé d'aider Jeannine à se faire entendre en alertant via cet article, les journalistes, les médias.

Ma solidarité envers les victimes est sans limite, chacune étant pour moi un combat, une raison de poursuivre.

Jeannine et son quartier ont un DROIT celui de vivre et non de mourir au nom du "IL FAUT BIEN!".

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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 17:18

Depuis huit ans, je dénonce ce qui se trame dans ma ville et ses quartiers.

A de nombreuses reprises, j'ai alerté les institutions, les élus, les avocats de mes agresseurs sur leurs responsabilités dans cette escalade de la violence mais aussi sur les viols et agressions sexuelles se pratiquant dans les ascenseurs, les couloirs, les caves du Gay Logis, de la Wilson et de l'Egalité.

J'en ai parlé dans la presse, les émissions de radio et les reportages télévisés: les fameuses confidences des jeunes victimes souvent musulmanes, arrivant à moi, parce que justement, qui pouvait les croire, à part une autre victime rejetée par toute une ville.

Pour les agresseurs, issus des bandes locales, parfois rivales, parfois travaillant ensemble, quoi de plus normal que d'éclater "une salope de nana" puisqu'ils agissent en toute impunité depuis huit longues années.

Le mode opératoire se transmettant de frères en frères, d'amis en amis; c'est trop bon, trop fort, nous sommes des "intouchables", des "tout puissant", la mère-Noël est toujours là et le père-Noël aussi.

Le nombre des victimes est sans doute monumental, certaines parleront, mais combien se tairont ou s'enfuieront loin pour oublier, l'inoubliable.

Ce soir j'éprouve une colère froide, je vomis ceux qui savent et qui ne font rien par confort personnel, pour éviter les vagues ou par achat de la paix sociale.

Dans ce blog vous trouverez la lettre écrite à l'avocate de mon violeur principal, elle date; vous l'avez tous lue, qu'avez vous fait ?

Là revoici elle a été écrite le 24 novembre 2005:

"sardin marie-neige <vegaelnath@yahoo.fr> a écrit :

À :
Maître, bonsoir
Un contact qui ne devrait en aucun cas avoir lieu, mais voilà, j'éprouve le besoin d'avoir un dernier mot, et à la vue de ce que je vis et subis depuis le 22 juin 2004, je prends donc la liberté de vous écrire cet émail, pas à l'avocate, vous faîtes votre job au mieux, mais à la femme, à la mère de famille , peut-être, à l'humain;
Ce ne sont que des paroles de victime, mais puissent-elles faire encore une fois briller vos yeux!
Ce que j'ai vécu, grâce à votre client, puis à vous, puis aux deux juges d'instructions, peut s'enorgueuillir d'un "on achève bien la victime", deux heures et demie de cuisinage, de déni de ma parole, les choses les plus évidentes que l'on réfute car trop réelles, mais le détail sur lequel justement ma mémoire est floue, que l'on monte en épingle, pour qu il devienne le "vous voyez bien ce n est pas lui" ressemble fort à la dernière balle que l'on tire afin de s'assurer de la mort certaine de cette dernière.
Madame, je savais que votre client n'irait pas aux assises, car le commanditaire du crime qui m'avait ouvert le crâne et mis dans un bain de sang le 25 janvier 2004 et ami de votre client, s'est vu disculpé, parce qu il dormait à 12h45, par sa mère et sa soeur; depuis quand, les membres de la famille servent de couverture crédible.....et là c' est un frère hésitant qui intervient, pas de témoins du 21 juin et de la fête de la musique; je vous laisse donc comprendre doucement pourquoi, je ne voulais pas croiser de nouveau le regard de votre client, égoistement , juste pour moi, simplement pour m'éviter des souffrances inutiles, pour ne pas lire de nouveau cet instant de l'avant la jouissance où vous songez vos dernières secondes arrivées, et où lui débute son plaisir pervers de soumission et de salissure de ce qui vous sert de corps , en vous disant qu il fera la même chose à celle sur les photos, soit ma fille!
Ne pas revivre cela, une fois de plus, pour rien, juste pour me faire piétiner, et par vous mépriser........Vous avez osé lever la voix, sur moi, comme si vous étiez en plaidoierie, mais Madame, avez-vous un seul instant songé, que vous étiez en train de me culpabiliser, de m enfoncer la tête sous l eau, pour que respire mieux votre client, non je ne pense pas; pour croire en la justice, je vous déconseille vivement d'être victime, mais si j'éprouve ce besoin d'écrire une dernière fois et à vous qui plus est, c'est simplement pour vous mettre en garde, en innocentant ces jeunes des délits qu ils commettent, vous les confortez tous dans leur certitude"je suis un intouchable, tout m'est permis" et leur violence va aller crechendo<<<<<<<<<. Vous jouez un rôle dans cette escalade, celui du "no limite", si demain la bande menée par mes deux agresseurs, dont votre client, me tue, je vous en rends responsable vous et la justice, pour avoir refusé de voir les évidences et c'est à ma fille, qui a le même age qu'eux, que l 'on a oublié de qualifier de victime indirecte que vous présenterez, j'ose l'espérer vos excuses, mais il sera trop tard, Madame!
Rassurez-vous , je vais en avoir fini, de part mon métier et la boutique, des jeunes filles de la cité sont venues parler à deux, de ce qui leur était arrivé, l'une dans un ascenseur, l autre au huitième étage d'une tour , l'une pleure tout le temps, et l'autre est devenue anorexique, mais elles vont" bien", elles essayent d'oublier, et puis parler, elles ont peur, elles sont mineures, il a encore des copains ici, il peut nous retrouver et nous faire du mal , alors on va se taire , mais bon je peux venir te voir de temps en temps, tu sais on dirait pas mais il a une force................................le reste relève de la confidence et ne se trahit pas, juste deux prénoms, Magalie et Kadidja; voilà Madame , je partage désormais ce secret en partie avec vous, mais l'auteur est déjà votre client, donc pensez aux victimes à venir, où à celles qui se terrent, qui n'ont pas 48 ans, mais 16, 18, 20 ans, songez que derrière l'agneau, le charmeur, se cache un loup pervers.
Merci d' avoir lu ces quelques mots, mns"
 

Le destin, les cieux, en ont décidé autrement et je les en remercie de ne pas être sourds à mes prières, eux.

La messe n'est pas encore dite, je veillerai à ce que les auteurs soient ENFIN condamnés avec l'aide de toutes les associations alertées.

Mais j'ai aussi une supplique, vous, les bourgetins qui me lisez, parlez, dites ce que vous savez, ce que vous avez vu, entendu, au nom de toutes nos filles.

La vérité est libératrice, elle est la castration physique et définitive de nos violeurs; elle est votre NON.

  Pour toutes les victimes qui se terrent, mon message du 1er mai:

Le Bourget : Les deux frères terrorisaient les jeunes filles du quartier

Faits divers

 

Deux frères sont soupçonnés d'avoir "terrorisé", des années durant, de nombreuses jeunes femmes. Ils ont été arrêtés après qu'un jeune homme ait tenté de faire justice lui-même.

Les enquêteurs ont identifié une quinzaine de victimes, âgées de 14 à 18 ans
Les enquêteurs ont identifié une quinzaine de victimes, âgées de 14 à 18 ans Google Maps

Tout part d'une voiture brûlée. Celle-ci appartient à deux frères habitant en Seine-Saint-Denis. L'enquête de police mène à l'arrestation d'un suspect de cet incendie criminel. Ce suspect reconnaît les faits, mais va plus loin, et s'explique sur ce geste : Il raconte aux enquêteurs du service de l'accueil et de l'investigation de proximité (SAIP) de La Courneuve avoir agi « par vengeance à l'encontre des deux agresseurs » présumés qui « depuis plusieurs années terrorisaient et s'en prenaient à des jeunes filles d'un même quartier du Bourget », non loin de La Courneuve, dans le même département.

Cliquez ici !
Le nez cassé à coups de pied

Conséquence : le 17 avril dernier, le SAIP de La Courneuve a interpellé les deux frères de 21 et 24 ans dans la cadre d'une enquête pour « agressions sexuelles, corruption de mineures, menaces et violences volontaires aggravées ». L'un d'entre eux, l'aîné, a été écroué. Les enquêteurs ont identifié une quinzaine de victimes âgées de 14 à 18 ans dont l'une, 16 ans, a été victime des faits « entre août 2011 et mars 2012 ». Le plus jeune des suspects est soupçonné de lui avoir cassé un doigt et le nez « à coups de pied », toujours selon la Préfecture de police de Paris (PP). La mère de l'adolescente a également remis aux enquêteurs une vidéo de l'agression qui avait été diffusée sur Internet.

Faveurs sexuelles

Selon la PP, les suspects agissaient « selon un mode opératoire bien rôdé »: ils se procuraient le numéro de téléphone des jeunes filles, les contactaient via des messages « avenants et menaçants », les entraînaient dans des halls d'immeubles « sollicitant des actes sexuels ». Ils sont aussi soupçonnés d'avoir « confisqué » les téléphones portables de victimes ne les restituant « qu'en échange de faveurs sexuelles ». Les deux jeunes adultes ont « partiellement reconnu les faits ».

http://www.francesoir.fr/actualite/faits-divers/la-courneuve-les-deux-freres-terrorisaient-les-jeunes-filles-du-quartier-215913.html

Seine-Saint-Denis : deux frères interpellés après une série d'agressions de mineures

le 25 avril 2012 à 13h05 , mis à jour le 25 avril 2012 à 13h22

Deux hommes de 21 et 24 ans ont été interpellés et l'un écroué, la semaine dernière en Seine-Saint-Denis, pour une série d'agressions sur de jeunes mineures, a annoncé mercredi la préfecture de police de Paris (PP). Les enquêteurs ont identifié près d'une quinzaine de victimes âgées de 14 à 18 ans.

police policiers faits divers accident meurtre violences © LCI

Deux frères, âgés respectivement de 21 et de 24 ans, ont été interpellés la semaine dernière en Seine-Saint-Denis, pour une série d'agressions de jeunes mineures qu'ils sont présumés avoir "terrorisées", a annoncé mercredi la préfecture de police de Paris (PP). L'un des deux hommes a été écroué.

Le 17 avril dernier, le service de l'accueil et de l'investigation de proximité (SAIP) de La Courneuve, dans ce département, a interpellé les deux suspects, dans la cadre d'une enquête, a dit la source, pour "agressions sexuelles, corruption de mineures, menaces et violences volontaires aggravées". Ces faits avaient été révélés aux enquêteurs à la suite de l'interpellation d'un suspect consécutive à l'incendie criminel d'un véhicule, celui des deux frères.

Il avait expliqué avoir agi "par vengeance à l'encontre des deux agresseurs" présumés qui "depuis plusieurs années terrorisaient et s'en prenaient à des jeunes filles d'un même quartier du Bourget", non loin de La Courneuve, dans le même département. Les enquêteurs ont identifié une quinzaine de victimes âgées de 14 à 18 ans. L'une d'elle, âgée de 16 ans, avaient subi leurs assauts entre août 2011 et mars 2012. Le plus jeune lui a cassé un doigt et le nez à coups de pied. La mère de l'adolescente a même remis aux enquêteurs une vidéo de l'agression diffusée sur internet.

Selon la Préfecture de Police, les suspects agissaient "selon un mode opératoire bien rôdé" : ils se procuraient le numéro de téléphone des jeunes filles, les contactaient via des messages "avenants et menaçants", les entraînaient dans des halls d'immeubles "sollicitant des actes sexuels". Ils sont aussi présumés avoir "confisqué" les téléphones portables de victimes ne les restituant "qu'en échange de faveurs sexuelles", selon la source. Après avoir "partiellement reconnu les faits", les deux frères ont été déférés devant la justice en fin de semaine dernière. L'aîné a été placé en détention provisoire et son frère sous contrôle judiciaire, selon la source.

le 25 avril 2012 à 13:05

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/seine-saint-denis-deux-freres-interpelles-apres-une-serie-d-agressions-7192254.html

 

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  • : Le blog de Marie Neige,les 36 ans d'une libraire au coeur du 93. 36ans sur Le Bourget puis 4 ans de Neuilly-Plaisance.
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